TFOS DEWS II – Rapport de définition et de classification

février 16 2023

Jennifer P. Craig, MCOptom, PhD, Kelly K. Nichols, OD, PhD, Esen K. Akpek, MD, Barbara Caffery, OD, PhD, Harminder S. Dua, MD, PhD, Choun-Ki Joo, MD, PhD, Zuguo Liu, MD, PhD, J. Daniel Nelson, MD, Jason J. Nichols, OD, PhD, Kazuo Tsubota, MD, PhD, Fiona Stapleton, MCOptom, PhD

ABSTRAIT:

Les objectifs du sous-comité de définition et de classification de la DEW II de la TFOS étaient de créer une définition fondée sur des données probantes et un système de classification contemporain de la sécheresse oculaire.

La nouvelle définition reconnaît la nature multifactorielle de la sécheresse oculaire en tant que maladie où la perte d’homéostasie du film lacrymal est le concept physiopathologique central. Les symptômes oculaires, en tant que terme plus large qui englobe les rapports d’inconfort ou de troubles visuels, figurent dans la définition et les étiologies clés de l’instabilité du film lacrymal, de l’hyperosmolarité et de l’inflammation et des lésions de la surface oculaire ont été jugées importantes pour l’inclusion dans la définition. À la lumière de nouvelles données, les anomalies neurosensorielles ont également été incluses pour la première fois dans la définition.

Dans la classification de la DED, des données récentes appuient un schéma basé sur la physiopathologie où la sécheresse oculaire carencée en eau et par évaporation existe comme un continuum, de sorte que les éléments de chacun sont pris en compte dans le diagnostic et la prise en charge. Au cœur du schéma se trouve un diagnostic positif de DED avec des signes et des symptômes, et cela est dirigé vers la prise en charge pour restaurer l’homéostasie. Le schéma permet également de prendre en compte diverses manifestations connexes, telles qu’une maladie non évidente impliquant des signes de surface oculaire sans symptômes connexes, y compris des affections neurotrophiques où il existe une sensation dysfonctionnelle, et des cas où des symptômes existent sans signes de surface oculaire démontrables, y compris la douleur neuropathique.

Cette approche n’a pas pour but d’outrepasser l’évaluation et le jugement cliniques, mais devrait s’avérer utile pour guider la prise en charge clinique et la recherche.

(J.P. Craig et al. / La surface oculaire 15 (2017) 276-283)

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